Normal
0
21
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:8.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:107%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri », »sans-serif »;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-language:EN-US;}
.
.
.
… L’économie politique ne connaît l’ouvrier que comme bête de travail, comme un animal réduit aux besoins vitaux les plus élémentaires.
Karl Marx, Manuscrits de 1844, GF 1996, page 65.
Témoignage, au jour d’aujourd’hui, d’une espagnole d’origine équatorienne :
« On n’a pas les moyens en ce moment. On n’achetait tout ce dont nos enfants ont besoin. J’ai deux enfants. Ils doivent manger. Ils ne savent pas qu’on n’a pas d’argent. Alors au moins ici on peut manger le menu du jour. On nous donne aussi quelques suppléments comme des petits pots, de la viande. Et comme ça on peut varier un peu leur alimentation. Nous les adultes on peut supporter. Mais pas les enfants. » (France Culture, Le choix de la rédaction.)
.
.
.