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Ecoutons ce dialogue entre Léon et son amie prostituée Fumée dans l’Acrobate, film de Jean-Daniel Pollet (1976).
Pour ouvrir la boîte à cinéparoles cliquez sur la flèche (3mn).
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Ca a un certain effet effectivement. Je comparerais la sensation que j’ai ressenti, par l’analogie de la comparaison entre le dessin et la photo. C’est une question de temps :lors d’un dessin, la main suis toutes les lignes d’un paysages, d’un visage ou autre. Elle les incorpore toutes, puis les rejettent sur la papier par le biais du stylo. Lorsque l’on prend une photo tout va beaucoup plus vite (sur tout la photo digitale) les lignes les formes ce fondent dans un tout abstrait que l’on manipule et que l’on cadre. Ici c’est une façon de voir le cinéma un peu comme en le dessinant. Le fait de se caler sur le rythme du dialogue, en adéquation avec l’image nous oblige a scruter le détail, et de redessiner les lignes mouvantes a partir d el’image fixe. Je dis Bravo le Jpm !
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