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Obama 2008.
Alabama 1963 :
John Coltrane écrivit alors une des plus belles pages du jazz en hommage à des victimes de la violence raciste.
John Coltrane : saxophone ténor.
Mc Coy Tyner : piano.
Jimmy Garrison : contrebasse.
Elvin Jones : batterie.
Le quartet mythique!
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le phiblogZophe 2 
l’histoire aurait-elle du sens? Les choses auraient-elles des liaisons invisibles? Le temps serait-il no cyclique, mais spiralé?
Les rimes des poêtes seraient-elles créatrices? L’univers aurait-il pour centre l’espèce humaine? Dieu serait-il qu’un écho des hommes et y aurait-il une possible cohabitation entre Dieu, les dieux et les hommes?
Trouvons-nous dans les livres des solutions mais les solutions sont liées aux problèmes? N’est-il pas?
Enfin que justifie la violence? Que justifie les guerres? Obama rime avec cet univers d’un artiste indépendant, fort, John Coltrane. Alabama ou bien l’idée de parler avec des notes qui riment toujours avec sagesse.
John Coltrane fut un grand créateur, un messie moderne. Pourra-t-on en dire autant de Obama? That is the question………mais pour l’instant Coltrane est dans l’histoire, triomphant dans cet Olympe près de Mingus ou de Charlie Parker.
Vive les hommes, et que vive Obama. God Bless him.
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