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Ce plan extrait de la séquence de l’escalier d’Odessa du Cuirassé Potemkine (1925) montre comment Eisenstein fait faire au personnage, qui découvre que son fils vient d’être abattu par les soldats, un masque qui inscrit son visage dans une tradition théâtrale. On songe notamment aux masques des théâtres extrême-orientaux, chinois et japonais ou au katakali des Indes.
On pensera également au Cri de Münch (1890) :
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(L’image suivante correspond à un plan différent, trés bref, et séparé du premier par quelques autres).
Echo du plan un peu plus loin : variation de la mimique.
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