Il restait, des nombreuses sociétés amérindiennes aujourd’hui disparues, de nombreux objets. Cela donne une idée de la rage raciste qui anime certaines personnes : il fallait aussi que ces « souvenirs » disparaissent. Par la négligence, par l’abandon systématique le lieu destiné à les protéger et à en transmettre l’image matérielle a été ravagé par les flammes. C’est un autodafé de la mémoire, un mnémocide.

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