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Pour l’homme, la vie est donc par essence – c’est-à-dire par nécessité – quotidienne, non pas ontiquement, sur le mode dégradé (et forcément dégradant) de l’esquive et de la médiocrité, de la déchéance et du nivellement, mais ontologiquement, en tant que traduction immédiate du conflit, au sein de l’exister, entre l’extase et la stance.
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Bruce Bégout
quel sens philosophique y a-t-il à considérer le quotidien comme une forme dégradée, et de quoi ?
qu’est ce qu’une décision pure ? quel sens y a-t-il à dire que « l’essence de l’homme est son existence » (SuZ § 9) ? à le penser comme extase, tout en valorisant son enracinement et en condamnant « l’absence de sol » ?
A vous la terre …
si vous répondez encore.
YE.
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