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A quoi bon utiliser l’angle droit quand on peut faire autrement? Tel est le choix de l’architecte d’origine irakienne Zaha Hadid, mathématicienne de formation. Le dessin se libère du « té » et de l’équerre. On se dira que cela condamne les ouvrages au statut de « machines célibataires » l’urbanité imposant un minimum de respect de l’orthogonalité. C’est à voir.
Je songe alors aux oeuvres du peintre Paul Klee. Celui-ci a toujours respecté l’orthogonalité des supports (feuilles de dessin, tableaux). Mais il a le plus souvent interposé entre le cadre « normal » et ses formes un cadre dynamique dont la fonction était de calmer la dureté de la convention.
Regardons cette caserne de pompiers de Zaha Hadid aujourd’hui musée de design.
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je viens de vous découvrir grâce à un article de Match je suis béate d’admiration!c’est splendide ! y a t il un livre où l’on retrouve les photos de vos œuvres ?
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